Gare de Bruxelles-Midi. Aujourd'hui, mon train est annoncé avec 35 minutes de retard. Après de nombreuses péripéties ferroviaires, j'arrive en gare de Liège-Guillemins à 9h27 au lieu de 8h22, soit avec 65 minutes (!) de retard sur l'horaire. Je n'en connaîtrai jamais la raison. J'ai raté ma correspondance habituelle de 8h26 et également celle de 9h26. Seul point positif : j'aurai échangé quelques mots avec une sympathique navetteuse régulière. Ma vie est passionnante.
J'arrive enfin au boulot et mon chef m'annonce que "ça ne peut plus durer et qu'il faut trouver une solution" quant à ces histoires de retards de trains (comme si j'en pouvais quelque chose !) : peut-être prendre un train plus tôt ? Et me lever encore plus tôt ? Et avoir encore moins de vie en dehors du boulot ? Bordel ! Et changer de boulot ? Je l'ai pensé très fort mais je ne l'ai pas exprimé.
Quelqu'un qui ne prend pas le train tous les jours ne peut pas se rendre compte à quel point ces trajets sont saoulants (et pourtant, je suis quelqu'un de très patient)... Le train que je prends n'est jamais à l'heure. Il doit arriver à 8h22 mais n'est jamais arrivé une seule fois à 8h22. Il y a toujours un problème : avarie à la motrice, problème "de composition", goulet d'étranglement à Bruxelles-Central, vol de câbles, présence d'extraterrestres sur les voies, problème d'électricité sur le réseau, absence de charbon, tornades, cyclones, train en détresse sur la ligne, trou de ver spatio-temporel, etc.
* * *
Ce soir, Léandra vient manger chez moi. J'ai préparé de simples rigatoni sauce bolognaise. J'ai prévu deux bouteilles de vin de table fermées par une capsule à vis : comme rouge, un Cabarnet sauvignon d'Afrique du Sud et comme blanc, un Chardonnay de Californie. Ils sont tous les deux répugnants : le rouge est bouchonné (alors qu'il n'est même pas fermé par un bouchon !) et le blanc semble avoir été coupé à l'eau. Heureusement, Léandra a apporté une troisième bouteille : un Bourgogne Passe-tout-grains. Ben merde alors : lui aussi semble avoir été coupé à l'eau ! La compression des coûts, tout ça : avant la mise en bouteille, on rajoute de la flotte !
Léandra m'a "un peu" parlé de Jonas durant la soirée. Elle et lui passent ce début de week-end à Gand. Ils dormiront dans une chambre d'hôte pour la nuit de vendredi à samedi. Trouver un logement n'a semble-t-il pas été de tout repos.
Le jour de mon anniversaire approche et il faut encore que j'envoie une invitation pour ma traditionnelle soirée à la Porte Noire. Je profite du fait que Léandra est présente pour lui demander son avis sur la liste des invités. Qui inviter ? Que faire ? J'ai deux choix : inviter tout le monde ou bien au contraire restreindre leur nombre. Je décide d'inviter tout le monde, mais j'arrive à 35 personnes ! C'est de pire en pire. Il faut encore que j'y réfléchisse... Et si je supprimais de la liste tous ces Français (à l'exception d'Emily évidemment... et de Chrsitelle, qui ne pourra hélas sans doute pas venir) que je ne vois de toute façon plus du tout ?
Léandra est très fatiguée. Elle s'installe dans mon petit divan et baille à de nombreuses reprises... Elle a eu une semaine éreintante. Elle n'a pas envie de rentrer chez elle et, après un dernier thé, s'en ira dormir dans la chambre de Gaëlle. Ni elle ni moi ne travaillons demain.
Le jour de mon anniversaire approche et il faut encore que j'envoie une invitation pour ma traditionnelle soirée à la Porte Noire. Je profite du fait que Léandra est présente pour lui demander son avis sur la liste des invités. Qui inviter ? Que faire ? J'ai deux choix : inviter tout le monde ou bien au contraire restreindre leur nombre. Je décide d'inviter tout le monde, mais j'arrive à 35 personnes ! C'est de pire en pire. Il faut encore que j'y réfléchisse... Et si je supprimais de la liste tous ces Français (à l'exception d'Emily évidemment... et de Chrsitelle, qui ne pourra hélas sans doute pas venir) que je ne vois de toute façon plus du tout ?
Léandra est très fatiguée. Elle s'installe dans mon petit divan et baille à de nombreuses reprises... Elle a eu une semaine éreintante. Elle n'a pas envie de rentrer chez elle et, après un dernier thé, s'en ira dormir dans la chambre de Gaëlle. Ni elle ni moi ne travaillons demain.
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