Je me réveille vers midi (c'est les vacances !) avec des rêves plein la tête :
(Premier rêve) J'apprends au téléphone par Léandra que Nanash n'est pas content que je l'ai battu aux échecs la dernière fois et que, pour se venger et me faire peur, il a décidé de kidnapper Gaëlle avec son ami Tony. Ils n'ont pas l'intention de lui faire du mal mais je ne suis pas rassuré. L'enlèvement doit avoir lieu chez moi à 21h30 précises dans la chambre de ma fille, chez mes parents. Mes parents habitent un grand château, avec un parc et une grille, et la chambre de ma fille est beaucoup plus grande qu'elle ne l'est dans la réalité. À l'heure du supposé enlèvement, je suis censé être dans un grand restaurant bruxellois. Nanash le sait. J'élabore un plan : faire semblant de ne pas être au courant de ce que j'ai appris au téléphone.
Dans le rêve, je suis professeur dans une sorte de grand pensionnat, à Bruxelles. À la sortie de mon cours, en fin d'après-midi, je décide de téléphoner à mon père pour qu'il fasse très attention à Gaëlle ce soir, car elle risque d'être kidnappée, mais je ne lui explique pas tous les détails. Il ne me prend pas au sérieux et me répond de son air mi-surpris/mi-fâché un truc du genre : "M'enfin, d'accord, mais c'est n'importe quoi". Un peu avant 21h30, je suis à l'entrée du restaurant et Nanash m'appelle pour prendre de mes nouvelles. Je sais parfaitement qu'il m'appelle en réalité pour savoir si je suis bien de sortie ce soir et non avec ma fille. Je fais semblant de ne rien savoir, comme prévu. Peu après, je décide de retourner chez mes parents, très rapidement, par je ne sais quel tour de passe-passe spatiotemporel. Lorsque j'arrive, Nanash et Tony sont là, mes parents aussi. Mais ma fille, elle, a disparu. Personne ne sait où elle se trouve. Je commence à stresser.
J'ai dû me réveiller à ce moment-là, mais me rendormir directement après. Le rêve s'est alors transformé en tout autre chose :
(Second rêve) De retour au pensionnat/collège dans lequel je donne cours, je dois empêcher des filles en fin d'adolescence de franchir la grille d'entrée de la cour, qui ne ferme pas. La consigne : elles doivent absolument rester dans l'enceinte du bâtiment et surtout ne pas aller courir les rues ou rejoindre leur petit copain. Le problème, c'est que je dois partir, pour je ne sais quelle raison, et que je ne peux pas garder la grille indéfiniment. Je place donc une sorte de petite barrière en bois à la place de la grille. C'est ridicule car la barrière doit faire à tout casser 40 cm de haut. Les adolescentes restent pourtant à leur place à l'intérieur de la cour. Sauf une qui enjambe la barrière, me suit et fait un bout de chemin avec moi en me prenant par la taille. L'adolescente et moi finissons par arriver à un immeuble avec une échelle. Nous décidons de monter à l'échelle pour voir ce qui se passe dans un des appartements. Par la fenêtre, nous voyons trois des adolescentes qui devaient rester dans la cour du collège en plein acte sexuel avec leur petit copain.
Il devenait glauque, ce rêve. Je crois que je me suis réveillé définitivement à ce moment-là. La signification de tout ça ? Aucune idée.
Hamilton, mon brave petit Hamilton, que cherchais-tu vraiment en débarquant dans cette soirée ? Tu as l'air en forme, bravo, woaw ! Tu fais des efforts, tu tentes l'humour, tu feins la décontraction alors que tu es une boule de nerfs... Tu sais aussi qu'elle va arriver, à un moment. Charles-Henri est là pour vous accueillir, Léandra et toi. Du moment que tu as ta bière (une Chimay blanche ou un Orval), tu es heureux, non ? C'est de cette manière que le monde fonctionne pour toi, depuis des années.
Hamilton III, un des colocataires de la Maison du Bonheur-bis, débarque à un moment, mais il ne mérite même pas que tu le mentionnes dans ce blog. Ce gars sans couleur n'est pas vraiment là, ni pour lui, ni pour toi (Ground control to Major Tom...). Durant toute la soirée, tu auras aussi l'impression qu'Elisabeth, Hamilton III et Emilia, la troisième colocatrice de Charles-Henri, ont un peu trop bouffé de salsepareille cet après-midi. Elisabeth passe une heure (au moins) à faire la sono et finira par passer un tube de Metronomy que tu adores. Emilia lèche son (ex-futur-ex) copain pendant une demi-heure. Passons. Elle n'est pas vraiment là non plus, celle-là.
Annabelle n'est pas en forme : entre la soupe – délicieuse – et le dessert, elle monte se reposer. Elle parle un peu avec Walter et Emily du boulot. Tu ne sais pas trop quoi dire (tu veux que je te ressorte le courriel pathétique que tu lui as envoyé en décembre dernier ?).
Sinon, elle ne s'est pas trop mal déroulée, cette soirée. Tout le monde travaille le lendemain, sauf Léandra et toi. Tu es content de parler à Charles-Henri. Tu as écouté d'une oreille les délires de Walter sur le privé et tu as été en grande partie d'accord avec les "définitions" d'Andrew.
L'after à la Bécasse appartient à un autre monde.
Dans le rêve, je suis professeur dans une sorte de grand pensionnat, à Bruxelles. À la sortie de mon cours, en fin d'après-midi, je décide de téléphoner à mon père pour qu'il fasse très attention à Gaëlle ce soir, car elle risque d'être kidnappée, mais je ne lui explique pas tous les détails. Il ne me prend pas au sérieux et me répond de son air mi-surpris/mi-fâché un truc du genre : "M'enfin, d'accord, mais c'est n'importe quoi". Un peu avant 21h30, je suis à l'entrée du restaurant et Nanash m'appelle pour prendre de mes nouvelles. Je sais parfaitement qu'il m'appelle en réalité pour savoir si je suis bien de sortie ce soir et non avec ma fille. Je fais semblant de ne rien savoir, comme prévu. Peu après, je décide de retourner chez mes parents, très rapidement, par je ne sais quel tour de passe-passe spatiotemporel. Lorsque j'arrive, Nanash et Tony sont là, mes parents aussi. Mais ma fille, elle, a disparu. Personne ne sait où elle se trouve. Je commence à stresser.
J'ai dû me réveiller à ce moment-là, mais me rendormir directement après. Le rêve s'est alors transformé en tout autre chose :
(Second rêve) De retour au pensionnat/collège dans lequel je donne cours, je dois empêcher des filles en fin d'adolescence de franchir la grille d'entrée de la cour, qui ne ferme pas. La consigne : elles doivent absolument rester dans l'enceinte du bâtiment et surtout ne pas aller courir les rues ou rejoindre leur petit copain. Le problème, c'est que je dois partir, pour je ne sais quelle raison, et que je ne peux pas garder la grille indéfiniment. Je place donc une sorte de petite barrière en bois à la place de la grille. C'est ridicule car la barrière doit faire à tout casser 40 cm de haut. Les adolescentes restent pourtant à leur place à l'intérieur de la cour. Sauf une qui enjambe la barrière, me suit et fait un bout de chemin avec moi en me prenant par la taille. L'adolescente et moi finissons par arriver à un immeuble avec une échelle. Nous décidons de monter à l'échelle pour voir ce qui se passe dans un des appartements. Par la fenêtre, nous voyons trois des adolescentes qui devaient rester dans la cour du collège en plein acte sexuel avec leur petit copain.
Il devenait glauque, ce rêve. Je crois que je me suis réveillé définitivement à ce moment-là. La signification de tout ça ? Aucune idée.
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Hamilton, mon brave petit Hamilton, que cherchais-tu vraiment en débarquant dans cette soirée ? Tu as l'air en forme, bravo, woaw ! Tu fais des efforts, tu tentes l'humour, tu feins la décontraction alors que tu es une boule de nerfs... Tu sais aussi qu'elle va arriver, à un moment. Charles-Henri est là pour vous accueillir, Léandra et toi. Du moment que tu as ta bière (une Chimay blanche ou un Orval), tu es heureux, non ? C'est de cette manière que le monde fonctionne pour toi, depuis des années.
Hamilton III, un des colocataires de la Maison du Bonheur-bis, débarque à un moment, mais il ne mérite même pas que tu le mentionnes dans ce blog. Ce gars sans couleur n'est pas vraiment là, ni pour lui, ni pour toi (Ground control to Major Tom...). Durant toute la soirée, tu auras aussi l'impression qu'Elisabeth, Hamilton III et Emilia, la troisième colocatrice de Charles-Henri, ont un peu trop bouffé de salsepareille cet après-midi. Elisabeth passe une heure (au moins) à faire la sono et finira par passer un tube de Metronomy que tu adores. Emilia lèche son (ex-futur-ex) copain pendant une demi-heure. Passons. Elle n'est pas vraiment là non plus, celle-là.
Annabelle n'est pas en forme : entre la soupe – délicieuse – et le dessert, elle monte se reposer. Elle parle un peu avec Walter et Emily du boulot. Tu ne sais pas trop quoi dire (tu veux que je te ressorte le courriel pathétique que tu lui as envoyé en décembre dernier ?).
Sinon, elle ne s'est pas trop mal déroulée, cette soirée. Tout le monde travaille le lendemain, sauf Léandra et toi. Tu es content de parler à Charles-Henri. Tu as écouté d'une oreille les délires de Walter sur le privé et tu as été en grande partie d'accord avec les "définitions" d'Andrew.
L'after à la Bécasse appartient à un autre monde.
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