J'apprends par Andrew que Zahra
ne va tout compte fait pas loger chez Léandra, alors que cette dernière
avait tout préparé pour son relativement long séjour en Belgique. C'est
extrêmement énervant, ces revirements de petite fille gâtée.
J'espère ne pas avoir une crise d'appendicite parce que ça tiraille
exactement à l'endroit où ce putain d'organe inutile devrait se trouver.
La Maison du Peuple vient de rouvrir ses portes. Il est où le
changement ? Il est où l'air conditionné annoncé ? Je passe la
fin de la journée à boire des thés (et un Orval en terrasse au
Verschueren) avec Emily et Andrew (mais sans Léandra, qui est partie en
vacances donc ; et sans Walter, parce qu'il n'a pas envie de venir en
transports en commun). Les deux présents sont un peu crevés (faut dire
qu'ils n'étaient pas en congé maladie, eux), à tel point que j'ai l'air
en forme ! J'apprends que la pointe que j'ai dans le vendre, ça
ressemble plus à un truc au rein. On verra...
Soirée
calme et sympa. On parle de Walter et de Zahra. On parle de
post-modernisme et de Sarkozy. Je croise par hasard au bar Anke,
l'historienne-photographe rencontrée au colloque du début du mois de
mai. C'est son dernier jour en Belgique : elle part pendant une dizaine
de jours en Bosnie. Elle me parle d'un mail qu'elle m'a envoyé
aujourd'hui (que je n'ai pas reçu) et de son copain cubain qui ne peut
pas revenir en Belgique à cause d'un problème de visa... Emily trouve
qu'elle avait une façon très proche de me parler. J'ai trouvé aussi,
mais ça doit être dans sa "façon d'être" générale en fait (bah oui).
Demain, si tout ne va pas trop mal, on fera une promenade dans le
Brabant flamand, avec Andrew, Emily et peut-être Zahra (mais ça
m'étonnerait).
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