Épisode 10 de The Shield dans le train : "Dutch" coince son serial killer
dans une scène d'anthologie. Reprise du boulot : ça pourrait être pire.
Je me force à aller au badminton en soirée. Je perds tout, je m'en
fous.
Je croise Lewis à la buvette avec Mary. Ils parlent en mal d'une fille, Didie, qu'ils voient dans la salle de sport depuis la fenêtre de la buvette : "Froide, sans saveur" (ou un truc du genre), d'après Mary. Lewis me dit : "Tu sais, Hamilton, cette fille est amoureuse de mon fils César, c'est pour ça qu'elle est sur le terrain, blablabla, tu sais que mon fils est quelqu'un de formidable, blablabla, mais elle n'est pas très intéressante, tu sais..." Moi, sans être "accro", je ne la trouve pas si mal, en fait, cette Didie, et je fais exprès d'aller à contre-courant de ce qu'ils disent. C'est dingue comme ces gens peuvent vite juger sur base d'une simple froideur initiale ou de préjugés (qui peuvent tout simplement être liés à de la timidité).
Verre au Corto avec Mary, seule. Fille difficile à saisir, intelligente. Aucune trace de Walter. Pas de nouvelle d'Emily. On décide de la laisser tranquille. En attendant le bus 54, j'entame la conversation avec une dame au regard vif : elle commence à parler d'un pauvre chat qu'elle a recueilli en août dernier et dont elle s'occupe. Puis elle demande ce que je fais comme boulot et pourquoi je ne veux pas habiter plus près de ce dernier. Je lui dis que j'aime trop Bruxelles, que c'est ma ville maintenant. Elle me dit qu'elle comprend, que chaque quartier bruxellois possède sa particularité propre et que la chose permet d'appréhender l'autre dans sa diversité culturelle, ethnique, etc. J'ai eu l'impression qu'on s'est compris directement (ça m'arrive de temps en temps). Avant de prendre son bus, elle me lance : "c'était le quart d'heure philosophique du lundi soir". Chouette dame, elle m'a rendu un vrai sourire (je bénis ce genre de rencontre simple et impromptue). Reste plus qu'à en trouver une comme ça, mais de 40 ans plus jeune (c'était la seconde pragmatique avant d'aller dormir).
Je croise Lewis à la buvette avec Mary. Ils parlent en mal d'une fille, Didie, qu'ils voient dans la salle de sport depuis la fenêtre de la buvette : "Froide, sans saveur" (ou un truc du genre), d'après Mary. Lewis me dit : "Tu sais, Hamilton, cette fille est amoureuse de mon fils César, c'est pour ça qu'elle est sur le terrain, blablabla, tu sais que mon fils est quelqu'un de formidable, blablabla, mais elle n'est pas très intéressante, tu sais..." Moi, sans être "accro", je ne la trouve pas si mal, en fait, cette Didie, et je fais exprès d'aller à contre-courant de ce qu'ils disent. C'est dingue comme ces gens peuvent vite juger sur base d'une simple froideur initiale ou de préjugés (qui peuvent tout simplement être liés à de la timidité).
Verre au Corto avec Mary, seule. Fille difficile à saisir, intelligente. Aucune trace de Walter. Pas de nouvelle d'Emily. On décide de la laisser tranquille. En attendant le bus 54, j'entame la conversation avec une dame au regard vif : elle commence à parler d'un pauvre chat qu'elle a recueilli en août dernier et dont elle s'occupe. Puis elle demande ce que je fais comme boulot et pourquoi je ne veux pas habiter plus près de ce dernier. Je lui dis que j'aime trop Bruxelles, que c'est ma ville maintenant. Elle me dit qu'elle comprend, que chaque quartier bruxellois possède sa particularité propre et que la chose permet d'appréhender l'autre dans sa diversité culturelle, ethnique, etc. J'ai eu l'impression qu'on s'est compris directement (ça m'arrive de temps en temps). Avant de prendre son bus, elle me lance : "c'était le quart d'heure philosophique du lundi soir". Chouette dame, elle m'a rendu un vrai sourire (je bénis ce genre de rencontre simple et impromptue). Reste plus qu'à en trouver une comme ça, mais de 40 ans plus jeune (c'était la seconde pragmatique avant d'aller dormir).
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