Nous sommes le 21 avril 2011. Demain, je me mettrai à écrire ce journal un peu ridicule au jour le jour. Au départ, ce carnet était intégré à mon blog, de manière un peu cachée (mais néanmoins trouvable). Cependant, le format n'était pas vraiment adéquat et l'instabilité de Blogger me faisait perdre des pans entiers de ce que j'avais écrit, sans raison. Des années 2009-2010 et du début de 2011, je me souviens de quelques trucs...
En 2009, le début d'année fut assez plat, monotone et insipide. C'est l'année de ma reprise du badminton, après dix ans d'arrêt. C'est là que je rencontre le vieux Lewis, président du club, historien de formation, qui deviendra mon ami.
Le vendredi 7 août 2009, je passe à un "Apéro urbain" devant le Palais de justice de Bruxelles en compagnie de mon pote Vinge. On s'emmerde, on va partir mais on rencontre par hasard Charles-Henri du badminton, avec d'autres Français. C'est là que je rencontre Christelle. Le lendemain, jeu de tarot à Bruxelles-les-Bains avec les Français. C'est le début de la "période française".
Le vendredi 7 août 2009, je passe à un "Apéro urbain" devant le Palais de justice de Bruxelles en compagnie de mon pote Vinge. On s'emmerde, on va partir mais on rencontre par hasard Charles-Henri du badminton, avec d'autres Français. C'est là que je rencontre Christelle. Le lendemain, jeu de tarot à Bruxelles-les-Bains avec les Français. C'est le début de la "période française".
Durant cette période, je rencontre plein de nouveau monde dont Emily, Fany, Vespertine, Lytle, notamment. Au badminton, arrivée de Walter, aussi. Sinon, quelque chose a-t-il changé depuis ? Ah oui : j'ai aussi rencontré Annabelle. Pour elle aussi, je me souviens de l'endroit où je l'ai vue la première fois : j'étais à deux mètres de la porte d'entrée en train de placer un filet dans la salle de sport et je l'ai accueillie. Et je me souviens aussi de la première fois où je lui ai proposé d'aller boire un verre à la buvette.
(Note : parfois je me souviens parfaitement de la première rencontre, parfois pas. Exemple le plus flagrant : Léandra. Je ne sais pas du tout quand ni où je lui ai parlé la première fois. Et elle non plus, je pense.)
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